Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur, le Seigneur est Dieu, il nous est apparu. Sauve-nous, ô Fils de Dieu, monté sur le petit d’une ânesse ; nous te chantons : Alléluia.
Seigneur notre Dieu, toi qui sièges sur les Chérubins, tu as réveillé ta puissance et tu as envoyé ton Fils unique, notre Seigneur Jésus Christ, pour sauver le monde par sa croix, sa mise au tombeau et sa résurrection. Tandis qu’il s’approchait de Jérusalem, pour y subir de plein gré sa Passion, le peuple qui était assis dans les ténèbres et l’ombre de la mort, prenant comme symboles de victoire les rameaux des arbres et les branches des palmiers, annonçait par avance la Résurrection.
Et nous qui, à leur exemple, en ce jour d’avant-fête, portons en main des palmes et des rameaux et te crions «hosanna» comme jadis la foule et les enfants, garde- nous, Seigneur, sous ta protection ; afin que, par des hymnes et des cantiques spirituels, nous parvenions aussi à la vivifiante résurrection, le troisième jour, dans le Christ Jésus notre Seigneur, avec lequel tu es béni, ainsi que ton très-saint, bon et vivifiant Esprit, maintenant et toujours, et dans les siècles des siècles.
Que celui qui, pour notre salut, a daigné monter sur le petit d’une ânesse, le Christ notre vrai Dieu, par l’intercession de sa Mère toute pure et immaculée, par l’intercession du saint prophète et précurseur Jean, des saints et justes aïeux du Seigneur Joachim et Anne et de tous les saints, aie pitié de nous et nous sauve Lui qui est bon et ami de l’homme.